jeudi 24 juillet 2008

SoUvEniRs SoUvEniRs...

Oui, je sais, hier, je n'ai rien laissé à manger lire pour vous ici, et je ne ferais pas ça à mon propre chat si j'en avais un. Mais en même temps, pour la plupart, je vous connais moins bien que le chat que je n'ai pas, et d'autre part vous êtes assez intelligents pour aller voir ailleurs sans même me demander mon autorisation, chose que mon chat ne ferait pas. Quoique, pas sûre qu'il demanderait l'autorisation, avant de goûter la meilleure bouffe du voisin. Par contre, sûre qu'il ne goûterait pas aux merdes des autres d'à côté. Bref.

Après ce pâté d'introduction, laissez moi parler de mes vacances. Pas celles-ci, vu que je ne les ai pas encore vécues, mais celles d'"avant", quand "c'était mieux".

Pour moi, des vraies vacances, vraies de vraies, certifiées conformes, label "vacances", c'est quand on part à plus de... allez, on va dire 200km. Or, ça fait quasiment un mois que je tourne autour de Lille, au plus à 100 bornes, et croyez-moi, pour moi, c'est une lutte permanente, un déchirement total, une désolation terrible.

C'est que les vacances, avant, quand j'étais un petit citron encore attaché à mon arbre, c'était 2 mois non-stop de dépaysement total. Sachez que mes parents sont tous les deux fainéants profs (moi j'ai le droit de faire la blague, pas vous), et que, du coup, on a toujours eu deux mois de vacances tous ensemble. Jamais je n'ai vu ma mère dire "allez, les enfants, encore 10 jours à attendre votre père, et après on part...". Non, nous, c'était cash, hop, grandes vacances, on charge la caravane, hop, vérification des feux arrières/avants, pose des rétroviseurs "spécial caravane", et cassos.

N'allez pas croire, donc, que nous partions au club med à St Tropez en avion. Parce que je viens de vous dire que, nous, on avait une caravane, et en plus, je viens aussi de vous dire que mes parents étaient profs; et que celui qui croise des profs au club med me fasse signe. J'ai dit des vrais profs, hein, pas du privé ni des profs avec gros héritage familial.

Bref, donc, nos vacances étaient du 1er juillet au 31 août, et s'il y avait eu un 32 août, on serait restés une journée de plus.

Mes parents, à l'époque, ils étaient carrément "roots". Je ne m'en rendais pas compte, petite, mais là, en regardant en arrière, ça me saute au nez. Rassurez-vous, les vôtres aussi, ils étaient roots: vous voulez des exemples qui vont vous rappeler des souvenirs? Bon, par exemple, on était à 3 derrière, serrés comme des saucisses, et quelque fois, quand la route étaient longue, on dormait.
Attention, c'est là que commence le roots: Moi, j'étais sur la plage arrière, mon frère sur la banquette, et ma sœur par terre. On n'était pas chien, parfois on échangeait nos places, mais comme c'était moi la plus petite, c'était plus facile que ce soit moi sur la plage arrière. Mes parents étaient sympas: ils filaient des oreillers, pour que ce soit moins dur pour ceux qui n'avaient pas la banquette pour s'allonger. Des pare-soleil? ah ah, vous rigolez? les serviettes faisaient bien l'affaire. La clim? mouarf!!!!!!!!!!!!! les fenêtre ouvertes par devant, oui!
Je me souviens aussi que, souvent, je jouais aux barbies aux pieds de ma sœur, dans la voiture, parce que toute la route à la place du milieu, c'était un peu ennuyant. Bon, je ne vous cache pas que dans mes différentes positions, le jus d'orange avait souvent du mal à passer, mais comme la famille était roots, mon frère et ma sœur n'avaient qu'à passer leur tête par la fenêtre de chaque côté pendant que je gerbais dans le sachet que me tenait ma mère, assise sur ses genoux sur le siège de devant, en attendant que mon père trouve une place pour se garer (pas si facile: je vous rappelle que derrière, il y avait la caravane, et que l'ensemble était quand même plus encombrant qu'une smart).

Donc, le trajet était roots, et avec l'énorme caravane derrière, on n'avançait pas des masses. Notre premier arrêt, c'était vers Dijon, soit environ 400 bornes après Lille. Je ne vais pas vous décrire toutes nos vacances, parce que sinon, je sors un bouquin, mais il faut que vous compreniez pourquoi j'ai un peu l'impression d'être une grosse bourge, aujourd'hui, quand je pars en vacances, un peu d'effort de lecture, après ce sera plus agréable...

Avec la caravane, on s'arrêtait donc dans les campings. Mes parents étaient quand même moins roots que ceux de steph, parce que nous utilisions la douche du camping, et non pas le système D du père de steph. Enfin, quand je dis "camping", attention, hola!!! ne croyez pas qu'on s'arrêtait dans un camping "danse de tongs" et animations 24h/24. Non, mes parents avaient leur carte "GCU": en gros, ça signifiait qu'ils pouvaient rentrer dans des campings privés, autogérés par les personnes qui occupent le camping. Ça veut dire que mon père se farcissait parfois les entrées du camping, ou lavait les chiottes, ou organisait le barbecue du vendredi soir, etc etc. Tout ça dans une bonne ambiance, apparemment, là j'étais trop jeune pour me rendre compte si c'était vraiment le cas, mais parfois je me demande comment c'est possible de nettoyer avec une bonne ambiance le caca des gens. Je pense qu'en fait, c'était quand même un peu moins cher, ces campings-là, et comme la famille était roots, on préférait partir plus longtemps en dépensant moins, ça c'est une raison valable.

Vous avez rigolé quand j'ai dit que notre premier arrêt, c'était Dijon. Si, je vous ai vus, ne dites pas le contraire. Vous croyez que j'ai vécu des vacances à la con à 400 bornes de chez moi? Détrompez-vous: Dijon, c'était une étape. On restait quelques jours, le temps de se faire des copains ("ah, c'est ton père qui nettoie les chiottes aujourd'hui? demain, c'est le mien..."), et véridique de chez véridique, je me faisais des potes à la pelle.
En plus, comme il n'y avait pas tant que ça de sectes ce genre de campings, je recroisais souvent les mêmes potes, d'une année sur l'autre, et je m'éclatais. Je me souviens encore de cette petite fille qui avait toute la collection de "my little poney", alors que moi je n'avais réussi à n'en avoir qu'un, parce que mes parents avaient le bon goût de freiner mes envies débiles... parfois, cette fille était assez bête pour bien vouloir m'échanger celui avec sa queue multicolore contre mon horrible poney bon marché. Bref, je m'égare, je m'égare.

Donc, Dijon n'était pas la destination finale. Non, sinon, je n'aurais pas dit qu'on était "roots", j'aurais dit qu'on était "beauf". Nous, on est allés, avec la caravane qui nous faisait avancer à 2 70 à l'heure jusqu'en bas de la botte de l'Italie. Avec les étapes nécessaires (énoncées dans le désordre parce que je suis nulle en géographie): je suis montée sur la tour de Pise, je suis allée dans une gondole à Venise (pas avec le printemps sur la tamise, non, nous, on partait l'été, le printemps, les enseignants n'ont pas assez de vacances...) , j'ai donné des miettes aux pigeons sur la grande place de Rome, j'ai mangé des pizzas à Florence et à Naples, et le truc le plus impressionnant pour moi, je suis montée sur le Vesuve, et j'ai crevé de chaud à Pompéi.

Oui les gens, tout ça en caravane, j'ai la larmiche à l'œil en y repensant.

J'ai la larmiche à l'oeil parce que, malgré tout, ces vacances roots, c'était quand même vachement bien, et c'est certainement un truc que je ne referai jamais avec mes enfants, vu que, premièrement, L est plus du genre "partir peu mais dans un truc classos", et qu'elle commence à déteindre un peu sur moi... et puis, deuxièmement, maintenant, on est obligés de mettre sa ceinture de sécurité à l'arrière. Troisièmement, L n'aura jamais autant de vacances que moi, et d'ailleurs elle est en train de rager sévère avec les rtt qu'elle va encore avoir en moins...

Enfin, on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a: cette année, on arrive quand même à partir trois semaines en camping essentiellement, et il ne faut pas cracher dans la soupe (parce que c'est dégueulasse, avec tout le mal qu'on a eu à couper les légumes), c'est déjà carrément pas mal.

Bon, d'ailleurs, il faut que j'aille peaufiner commencer un peu mon bronzage, histoire qu'en plus de voir notre plaque "59", les gens ne se foutent pas trop de notre tronche de nous voir arriver blanches comme des cachets...

19 commentaires:

  1. tu rigoles mais moi aussi parfois j'ai une grosse bouffée de nostalgie de mes 20 ans de camping en Vendée (waouh, au moins toi tu as vu du pays !), et même des douches glacées ! Mais c'est clair aussi que jamais plus je ne le ferai, maintenant je suis une bourge aux goûts de luxe...

    P.S: merci pour le lien vers mon vieil article !

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  2. Haralala, nostalgie quand tu nous tiens !!

    Chez nous aussi, le camping a eu ses heures de gloire !!
    A l'époque nous étions parisiens, et avaient pour habitude de descendre en Vendée !
    Même rituel pour les feux "ça marche lààààààààààà" et le précieux réglage des rétros...
    Mes parents avaient acheté un matelas gonflage qu'on calait entre la banquette arrière et les sièges de devant. Etant la plus petite (et la moins malade) je m'y collais...

    Et puis il y avait l'étape pour monter le auvant (??), mémorable (et hyper chiant). les copains, les feux de camps sur la plage, les soirées dansantes, la macaréna, les couches de biafine, les apéros jusqu'à pas d'heure (tiens c'est toujours d'actualité ça).

    En tout cas c'était les meilleures vacances ! Maintenant on s'embourgeoise ! Pas question de ramper dans un igloo, de prendre une douche froide, de tomber en panne de réchaud...

    En même temps, je me dis que Noé ne vivra pas ça, c'est dommage...

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  3. ben dis donc! Moi je peux dire que je n'ai JAMAIS connu ça!!! Mes parents sont bien trop bourges pour partir en caravane. Moi, c'était plutôt rouler le plus vite possible ("waow vous avez vu, mon ordinateur de bord il me dit que j'ai fait du 170 de moyenne", qu'il aimait dire mon père...), et puis c'était location d'appart avec vue sur la mer hein, faut pas déconner! Et même si ma mère trouvait toujours quelque chose pour râler, ma soeur et moi étions toujours ravies (en même temps, il aurait fallu être bien difficiles!) Tout ça pour dire que la première fois que je suis partie en vacances avec des potes, je devais avoir quelque chose comme 16-17 ans, c'était au camping. Et malgré mon équipement dernier cri sponsorisé par mes parents, ce fut bien rude! Maintenant que je commence à m'assumer financièrement, curieusement, je fais moins la fine bouche, mais de toutes façons, quand je suis en vacances, je suis TOUJOURS ravie!!! (sauf que maintenant, mes étés je les passe à bosser et mes vacances, c'est plutôt fin septembre) (et ma copine, ses parents, ils étaient encore pire que les miens niveau exigences!) Bonnes vacances!

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  4. Ah t'en as vu du pays quand même ! Chez moi, mon Papa refuse de partir sous la limite de la Loire, sinon il fait trop chaud pour lui (niveau bronzage c'est pas top...) Le record ça a été les Landes quand j'avais 4 ans, donc je m'en souviens plus vraiment... J'peux donc dire que je connais plutôt bien toute la moitié nord de la France, + quelques pays du nord de l'Europe (Pays-Bas, Autriche, Luxembourg, Irlande).

    Le camping, j'ai jamais connu, à part quelques jours tous les étés dans le jardin entre mon frère et ma soeur. Ça a des avantages d'être la plus petite. J'avais pas froid et j'étais protégée des méchants qui pouvaient nous attaquer en pleine nuit :-)

    La place du milieu dans la voiture, c'était aussi la mienne mais moi je ne l'aurais laissé pour rien au monde. C'est la seule où on peut voir correctement la route et la ceinture est moins génante. Pour le dodo sur la route, je m'arrangeais avec ma soeur, je dormais sur ses genoux (avec mon coussin et mon nounours bien sûr) et elle sur mon dos. Parfois même j'allongeais mes pieds sur les genoux de mon frère, ça n'le gênait pas. Encore un avantage de la place du milieu :-P

    Et chez nous, ça a toujours été grand gîte à la campagne, avec jardin, ping pong, et barbec' bien sûr ;-) Et toujours pendant les 15 derniers jours de juillet, pour respecter la saison de travail de mon Papa, qui recommence début août... Malheureusement, il a pas fait prof comme Maman :-(

    Maintenant que je grandis un peu, je n'ai plus vraiment l'occasion de partir avec mes parents (faut bien gagner un peu de sous l'été), bien qu'il y ait tout le temps de la place dans le gîte pour moi et même Darling si je le veux.
    En couple, nous ne sommes parties qu'une fois pour l'instant, avec compagnie aérienne low cost et en auberge de jeunesse, histoire d'avoir des vacances pas trop chères et qu'elles soient plus longues. Pour la suite, je serais pour tenter les vacances itinérantes en vélo ou à pied avec tout sur le dos.

    Voilà j'pense que j'ai tout dit (j'crois que j'ai jamais laissé un commentaire si long... les vacances et la nostalgie, ça m'inspire !)

    Bonnes vacances à toi !

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  5. Bon allez, je le dis : ça veut dire quoi d'être "roots"?

    Nous, c'était plutôt camping-car et on se gare n'importe où pour dormir, avec éventuellement la chance de se réveiller au bord de la plage (mais plutôt rare). Et comme on était déjà au-dessous de Dijon, et bien parfois, on remontait pour aller en Alsace.
    Mais vacances beaucoup plus courtes pour moi : tout le monde n'a pas la chance d'avoir eu des parents profs!
    Le bon vieux temps, quoi!

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  6. Les plages arrières dans la gs palace, et oui, je connais!! mon père enseignant également, on passait l'essentiel de nos vacances en auvergne, dans la famille, on faisait les foins tous ensemble, tonton, tata, cousines et cousins, des souvenirs à la pelle!!!

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  7. Hello,
    Franchement je nous retrouve ma copine et moi dans ce que tu dis.
    On aime pas trop les soirées où il y trop de monde, on part dans le Sud ce WE, on a la même VDD sauf que nous; c'est sur ses gosses qu'elle gueule et ils font un bordel monstre. Et j'ai les mêmes goûts musicaux que toi ms les mêmes envies de " classos " que ta copine.
    Nous qui pensions qu'on était des " cas uniques ", on est contente de savoir que vous êtes là les filles.
    Encore bravo,
    Une Cht'ite Homo

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  8. Ah là là! mes parents étaient pas aussi roots que les tiens (et pas profs non plus, donc jamais plus de 3semaines de vacances), mais le camping et la route à l'arrache, j'ai connu!
    Je me souviens, quand on était toutes gosses ma soeur et moi, mes parents avaient un fourgon, pour le boulot, avec juste 3 places assises à l'avant et un immense coffre derrière (un camion de roots quoi). ben ils avaient récupéré une vieille banquette d'autobus qu'ils avaient installé dos à dos avec le siège conducteur, vue sur les vitres arrières du camion donc. et puis ils avaient posé des petits matelas de caravane au pied de la banquette. Ils nous couchait le soir sur les petits matelas dans le fond du camion pour la nuit, et hop, d'une traite, Bretagne ==> Alpes, on s'ndormait à la mer et on se réveillait à la montagne! Après pendant la journée, on utilisait la banquette récupérée...
    Après, ils ont eu un camping car, ils se sont bien éclatés avec, mais comme on avait grandi avec mes soeurs, on exigeait la piscine dans le camping,faut pas déconner, en Alsace ou en Ardèche, ça s'impose quand même!

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  9. Rooo mais dis donc... c'est vrai qu'ils étaient inconscients quand même ! Ma soeur et moi aussi on a eu droit au matelas en 2 parties qui se cale derrière les sièges avant... avec les 2 chats en liberté et un bébé, mon frère, dans un lit voiture...
    Mais pas de caravane pour voir du pays... c'était le coffre blindé de la 505 break jusqu'en Bretagne, et après, 5 semaines de bateau ! Roots, quoi !

    PS : j'ai aussi connu les campings GCU, mais c'était de mon propre gré, avec des potes. C'était carrément sympa... aujourd'hui, je préfère les gites, t'enflammes pas MaB !

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  10. Ah, que de souvenirs ! ^^

    Moi aussi j'ai connu les vacances camping, sauf que mes parents étaient pas caravane, mais plutôt tente (le roots du roots :p). Et pour tenir à cinq dedans, on avait un énorme truc qui en plus devait dater des années 60/70 qu'on passait deux heure à monter/démonter. Par contre on est jamais parti à l'étranger, t'as bien de la chance pour ça ^^

    Mais bon, depuis je me suis ratrapée, entre les séjours-randonnée avec le CE de mon père (et les auberges de jeunesse flippantes au milieu du Pays de Galles), et plus tard mes vacances étudiantes à la "one again" avec mes potes ^^

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  11. Pour ne pas dépareiller dans cet ensemble si unanime, moi aussi j'ai fait plein de camping ! 2 parents profs (moi aussi ;-)), et à part les vacances chez les grand-parents en Vendée ou dans les Alpes, on partait toujours les 2 premières semaines de juillet (après les résultats du bac) dans les Cévennes...
    Equipement : 2 tentes canadiennes d'abord, avec petite table pliante et siège à ras du sol ;-)... Un jour on est passés à l'igloo, quelle révolution!
    J'ai campé un peu partout en France, et en Europe, plutôt au nord (je viens du suuuuud (mais je m'appelle pas Chimène!) et où il pleut (la poisse ;-)), on a fait l'Autriche en camping car (grand luxe comparé aux tentes!), la Suède à pied avec tout le matos sur le dos (une tente mouillée, c'est lourd...)
    Et cette année, c'était mes premières vacances avec zéro camping... ça m'a fait très bizarre! Et même, j'ai l'impression de ne pas être partie en vacances... quand je mets les pieds dans un camping, l'aventure commence. La maison (ou l'hôtel, ou que sais-je) a beau être hyper classe, ça ne vaudra jamais le plaisir de passer son temps dehors!
    (bon je vous l'accorde, c'est pas toujours facile... en 2001, on a fait le Pas de Calais en tente igloo et... ça a fini en inondation dans la bouillasse! ;-))
    Avec tout ça, ça fait même pas 2 semaines que je suis rentrée de vacances, et je veux déjà y retourner... faut attendre 2 mois, snif (je savais que j'aurais dû être instit... j'ai raté ma vocation!)(et en + on m'a envoyé en mission au service info de Disney, et je vois plein de touristes bronzés-cramés et rigolards alors que moi je suis cachet-d'-aspirine et désespérée :-( ) (Zeste stp fais-nous plein d'articles ça me remonte le moral!) (et où il est le sondage du jeudi?) (oui d'accord j'ai fini, brav à eux qui sont arrivés jusqu'au bout de ce commentaire fleuve ;-))

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  12. Alors moi c'est tout le contraire!

    J'ai connu le camping pour la premère fois l'année dernière! Bon j'étais avec une pro du camping qui nous a fait un cours accéléré de montage de tente et plantage de sardines (et je savais que ça s'appelait comme ça avant de camper!).

    On a passé quelques jours dans un camping de "luxe" = douches avec eau chaude, piscine, aquagym et tutti quanti!!

    Je ne ferai pas ça chaque année! Ou alors dans un bungalow, je n'aime pas partager mes sanitaires avec une centaine de personnes!

    Mais faudra que je vous raconte un jour la route de mes vacances pour aller au Maroc (3 jours dans un fourgon sans clim!)

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  13. Moi j'ai eu un peu plus de chance, disons qu'on étais pas serré comme des sardines sur la banquette arrière car mon père avait Une Renault Espace !!! donc chacun son siège (on est 4 enfants fallait bien ça). Mais du coup pas de coffre donc les bagage disposé entre les siège, ya même une année où mon ptit frère avait fait la comédie pour emmené son vélo et donc je me suis tapé le guidon en pleine tête pendant 10h !!!!!!!!! Parce que nous on partais dans les landes et mon père ne voulais pas prendre l'autoroute pr éviter les bouchons (maintenant que j'ai le permis je constate qu'il a bien raison).

    Après quelques années 2 chiens sont venu s'ajouter aux bagages je peux vous dire que c'était folklo surtout quand l'un deux vomissait dans la voiture !!!!!

    Enfin voilà nous on a pas fait de voyages à l'étranger donc quelque part tu as de la chance mais je me suis bien amusé quand même.

    Cette année avec ma femme ça sera de vrai vacances (enfin s'il fait beau), on part une semaine chez ma grand mère en bretagne pour bien se reposer et après 2 semaine en vendée (qui va en vendée d'ailleurs ???) avec les beaux parents et le beau frère on à loué dans un camping équipé avec une grande tente avec des vrais lits, une table des chaises bref la total ;)

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  14. Rien à voir. juste pour vous souhaiter de bonnes vacances. See you..

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  15. --> steph: houla, regretter des douches glacées, tu ne pousserais pas un peu le bouchon, là?

    --> van: ha non, tout mais pas la macarena...

    --> marion: eh ben dis donc... avec tout ça, y'a de quoi être blasée, maintenant, non?

    --> pirouette: ah, nous, on cherchait le soleiiiil, pour ça, on était au moins tous d'accord, dans la famille, ouf!!
    Ça doit être sympa aussi, les vacances à vélo... mais bon, pour nous, il faudrait partir du sud quand même, histoire de ne pas juste arriver à Paris fin août... Apparemment, il n'y a pas que toi qui a été inspirée par le sujet! ce n'est pas pour me déplaire, tant que ça reste dans le "sujet"...!!

    --> eurêka: "roots": tu as le choix entre 1 semaine en thalasso ou une semaine en camping, et tu choisis le camping? c'est ça, être "roots"! Apparemment, ta famille l'était pas mal aussi!!

    --> niko: ah ça, les vacances-souvenirs...

    --> ch'tite homo: nous sommes nous aussi heureuses de voir que ça existe ailleurs!! "ch'tite", en plus? quand on se connaîtra un peu mieux, on pourra se boire un mojito en discothèque... ah ben non, zut, du coup, si vous n'êtes pas non plus "discothèque"... bon, on trouvera une autre occaz', allez!!

    --> polysémie: ah oui, niveau "roots attitude", c'était pas mal non plus chez vous!!

    --> kanou: c'est pas de l'inconscience, c'est juste que tout le monde faisait comme ça aussi, à l'époque... bientôt, on devra mettre des casques dans les voitures, et sortir avec des matelats autour de nous, tellement on est sur-protégés... enfin, y'a quand même de bonnes évolutions, faut pas non plus trop exagérer...

    --> cél: c'est vrai qu'au niveau "logement", c'était quand même mieux en caravane: quand il pleuvait, c'était plus sympa, on pouvait quand même faire des crêpes à l'intérieur!!

    --> tit'milie: pareil que toi: sans camping, ce ne sont pas de "vraies vacances"... moi, j'ai particulièrement besoin d'espace vert, surtout en vivant en ville comme ça... pour le "sondage du jeudi", avec les vacances, tout est un peu bousculé... on essaiera de revenir "à la normale" en septembre, si je continue le blog...

    --> boubou: tu rejoins marion, donc... ça va, vous vous entendez bien, les sudistes?

    --> sandra: m'enfin... personne ne part plus en Vendée, de nos jours!!! (pas taper...), et pour la Bretagne, prévoyez le parapluie... mouah ah ah!!

    --> glory: pas si "rien à voir" que ça... merci!

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  16. --> Zeste: blasée????? tu déconnes???? moi qui m'émerveille devant des choses toutes simples???? noooooooooon! le jour où je serai blasée de quelque chose, je serai bien vieille et j'espère que j'aurais eu l'occasion de voir et de vivre plein de trucs!

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  17. Zeste je tiens à te dire que c'est actuellement la canicule en bretagne on a atteint les 24 degré !!! je vais prendre ma crème solaire protection 50 je crois !!!

    enfin j'aurai toujours meilleur temps que dans le Nord hahahahahahaha !!!!!!!!!!

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  18. wouahhh que de souvenirs de campings... moi je me souviens de nos crises de fous rires avec ma sœur quand on devait taper des poings pour faire partir les taupes qui pointaient leur nez sous notre tente pendant que les plus grands étaient en train de bouger leur corps sur "nuit de folie" à la boum du camping.... sinon, à part les vacances au camping, mes parents avaient trouvé la solution pour nos vacances quand ils bossaient : on les suivaient dans leur camps d'été... mes colonies de vacances, je les ai donc passé avec l'aide sociale à l'enfance... et après on s'étonne :p

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  19. --> marion: ouf!!! tu m'as fait peur, sur le coup...!!

    --> sandra: détrompe toi: on crève de chaud, ici, depuis 3 jours! eh ouais!!

    --> dézinguette: ah, ça vient de là, alors!!! des taupes sous la tente??? tu me fais peur, là... argh, je pars en camping...

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V'z'avez quelque chose à dire?