jeudi 29 juillet 2010

CoNgéS aNNueLs !





... SeE YoU FiN AoûT !




(oui, ça fait léger, comme message, hein? Mais j'trouve que ça sonne bien, je n'voyais pas quoi rajouter !)



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mardi 27 juillet 2010

VeNeZ SiGnEr CliQuEr La PéTiTiOn !!!


(Avant propos: tous les titres de chansons de Jeanne Cherhal ont été utilisés dans ce message, mais je tiens à préciser qu'à aucun moment, ils n'ont été maltraités).

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Il y a quelques mois de cela, en toute amitié, j’avais proposé à Clara, une lectrice de ce blog, de venir sur Lille applaudir Jeanne Cherhal. Dit comme ça, on dirait que c’est normal, mais à cette époque, Clara était encore comme genre un parfait inconnu, et même si je lui ai dit, par mail, « ne t’inquiète de rien », et qu’elle m’a répondu « j’ai pas peur », je sais qu’elle a certainement pensé : « s’il m’arrive quelque chose, qui me vengera ? ».
Ce n’est pas comme si on était col et chemise et que je lui avais déjà montré mes photos de mariage, quoi (compliqué, d’ailleurs !). Sans compter que Lille, pour elle, ce n’était pas un pays d’amour, et on la comprend.

Ce soir tant attendu est finalement arrivé : avant le concert, elle a constaté qu’L et moi, on était un couple normal, et comme elle se sentait bien chez nous, elle s’est jetée à l’eau, et laissée allée à raconter son enfance, les berceaux brodés chez madame Suzie, les super 8 de son oncle Frédéric.
Il a fallu qu’on l’arrête à un moment parce qu’il était l’heure d’aller au concert. On avait juste le temps de s’enfiler rapidos une petite soupe.

Le concert fut merveilleux, c’est pourquoi à la fin, Clara hurla à Jeanne: « reviens-moi », parce que c’est vrai que Jeanne Cherhal, on ne la voit pas douze fois par an. J’ai fini par dire à Clara de ranger ses rondes larmes, parce que j’avais trouvé le moyen de peut-être obtenir une dédicace en passant par un ami d’ami d’ami d'un petit voisin, un des hommes perdus de Donges.

La dédicace fut faite, mais Clara était déjà retournée à sa station parisienne. Il a donc fallu faire appel à Roberto, le facteur, pour qu’il lui retourne le CD dédicacé. L’homme est un peu rural, et traîne un peu trop souvent dans les bistrots des bastringues : il m’a regardée d’un air louche, a sous-pesé la lettre, l’a mise sous son nez, puis a déclaré : « ça pèse une tonne et ça sent le sapin !! ». Je suis vite partie avant qu’il ne m’évoque une énième fois ses problèmes de relations avec la famille...

Quelques jours plus tard, qui ont parus à Clara comme cinq ou six années, alors que la canicule frappait la ville, voilà qu’est arrivée l’enveloppe : Clara l’a ouverte d’un trait, danger !! (c'est que ça coupe, une enveloppe !) … et a vu qu’elle ne contenait plus la moindre trace d’une dédicace
Elle a d’abord cru à une blague, et a pensé « ah, cette zeste, la reine des charades» (rhô, "reine", tu y vas fort, Clara, tout de même, voilà, voilà, voilà, quoi…).
Elle m’a de suite envoyé un mail sans titre pour tenter de me faire dévoiler mon premier, mon second, mon troisième, et ainsi réussir à dégoter mon tout.

Clara, il faut que je te le dise : lorsque tu m’as envoyé ce mail, que j'ai lu en plein air sur mon mobile phone, je me souviens encore de nos échanges de sms qui ont suivis :

Zeste à Clara: je suis au zoo, là, en compagnie de certains animaux… je ne comprends pas bien le pourquoi de ton mail ?!

Clara à zeste: je suis verte, je suis liquide, zeste… et ce n’est pas parce que tu m’attires ! Il n'y a rien dans l'enveloppe!!

Zeste à Clara: … ran, mais si j’avais su que ça n’arriverait pas, bon sang… je serais venue te le porter moi-même!

Clara à zeste : avec des si, zeste, avec des si… on pourrait mettre les chiens de faïence en bouteille ! (hum, oui, bon, elle était dure à placer, aussi, hein, "chiens de faïence"...)

Depuis ce jour, Clara est rentrée dans une lourde dépression : non seulement elle n’écoute que de la sad love song, mais en plus, elle a cessé de manger, et, la peau sur les os, répète à qui veut bien l’entendre : « je voudrais dormir… ».
Elle qui était si joyeuse il y a quelques mois quand, sur le marché, elle vendait du tissu en disant à l’homme d’à côté : « attends, oh, tu peux me donner le cours de l'étoffe: plus rien ne me fera mal !!»...

Pour que Clara cesse de considérer que son corps est une cage, il lui suffirait d’avoir juste la clef : une nouvelle dédicace qui remplacerait celle perdue dans les méandres de la poste…

... et c’est la raison pour laquelle je lance cette pétition que vous cliquerez évidemment, pour pousser Jeanne à avoir en ce dur mois, l’esprit de Noël (ben quoi, on y est presque, non ?).

Merci.





... Et dès qu'il y aura 20 votes 50 votes 100 votes tout plein de votes, je posterai sur le facebook de Jeanne cherhal pour l'implorer... Clara, tu te mettras à genoux, hein, n'déconne pas ?!

PS: faites tourner, hey: faites signer cliquer mamie, tonton, la cousine, le facteur, l'infirmière, les quinze ordinateurs à votre boulot, tout ça, évidemment...

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lundi 26 juillet 2010

SeULe, Au MiLiEu De NuLLe PaRt (ou presque)


L et moi, on forme un couple totalement normal: c'est pour ça que, comme tous les couples totalement normaux, on se dispute environ douze fois par jour. Enfin, douze fois, c'est quand elle bosse, hein, parce que sinon, quand elle est à la maison, évidemment, c'est plus: je vous laisse faire une opération en quatre par trois pour calculer l'âge du capitaine du nombre de nos embrouilles...

L'autre jour, c'est allé très loin, si loin que je me suis dit que peut-être j'allais avoir l'occasion de tester le statut "en couple mais c'est compliqué" de facebook... Toutefois, comme on avait décidé avant l'embrouille d'aller au furet (bon, je ne vous présente plus le furet, maintenant, hein, on est d'accord, il ne s'agissait pas du tout d'un tour en animalerie), on est parties toutes les deux en se faisant la tête.

L, c'est la mieux, la "bestof" du couple, parce qu'elle essaie toujours d'arranger les choses: c'est pour ça qu'en descendant les escaliers, elle m'a tenu la première porte, comme pour signer la déclaration d'indépendance de paix.
Moi, qui suis la pire du couple (sans surprise, puisqu'on est à deux, aux dernières nouvelles, et qu'L a pris le rôle de "la mieux"...), j'aime bien envenimer, un peu: c'est pour ça que je suis passée devant elle, fière, et que je ne lui ai pas tenu la deuxième porte.

Pour la troisième porte à passer, comme on avait deux mètres d'écart, ça n'a pas posé problème.

Arrivées à l'extérieur, je marchais en avant, en passant dans ma tête en film super huit toutes les insultes les plus horribles du monde que je préfère garder à l'intérieur, je bouillonnais en me disant que j'allais quitter l'appart, et que de toutes façons, L ne m'aimait plus, et qu'on n'avait pas idée d'être comme ça avec sa petite copine, et que limite je redeviendrais bien hétéro, si je l'ai vaguement été un jour, genre, mais ça c'était un autre débat. Je veux dire, c'était suffisamment embrouillé dans ma tête pour que je commence à penser à "qui de la poule ou de l'oeuf naît homo ou le devient".

Pendant que passait ce tsunami de raz de marée de crasses abominables, je tournais de temps en temps la tête pour voir si ça suivait par derrière, et je dois dire que, compter une L, c'est plus rapide que de compter une classe de 30 enfants.

C'est pour ça que je me suis vite aperçue du fait qu'en fait, derrière, ça ne suivait plus du tout... et que j'avais complètement perdu la trace du T-shirt blanc de ma petite copine, et de tout le reste.

J'ai tout de suite constaté que c'était complètement crétin de ma part d'être sortie de l'appart sans prendre les clefs, ni le portable, ni la carte bancaire, ni un pauvre petit euro, alors que je comptais donner l'illusion de quitter L dans les trois minutes.
J'ai compris que ça n'avait pas dû être crédible une seconde, dans le genre, mais ce n'était pas ça qui m'inquiétait le plus, au point où j'en étais: car, il fallait bien se rendre à l'évidence: je gisais au beau milieu du trottoir, là, seule en pleine ville, comme toute nue, sans but et sans mobile. Oui, non: même pas mon portable sur moi, quoi!

J'ai décidé d'être grande, de ne pas pleurer tout de suite: j'ai repensé à ce qu'il fallait faire, quand on se perdait dans un supermarché: ne plus bouger et attendre. Bon, sauf que là, en ville, je craignais fort qu'il n'y ait pas d'appel micro de quelqu'un qui réclamerait la petite zeste, ...
J'ai eu la bouche sèche, en pensant que j'avais échoué lors de la première solution proposée dans ma tête, et manque de bol, c'était L qui avait la p'tite bouteille d'eau dans son sac... ça a été la goutte d'eau que je n'avais pas qui allait faire déborder le vase.

J'ai réfléchi un peu encore, et j'ai pensé à ce qu'il fallait faire, quand on se paumait, quand on était plus grand: retourner au point de départ.
Je suis donc retournée à l'appart, fébrile, avec à moitié envie de tuer L de m'avoir abandonnée comme ça, et à moitié envie de vite la retrouver pour être en sécurité... et boire un coup dans la bouteille de son sac.
En arrivant à ma porte, bon, ben, bêtement, j'ai cherché mon nom sur la sonnette. C'est marrant, je ne me souvenais même plus de l'endroit de notre sonnette, étant donné qu'en trois ans, je ne m'en suis servi qu'une fois, quand j'ai mis nos noms dessus et que je l'ai essayée, pour voir si c'était la bonne... Enfin, quand je dis "c'est marrant", je veux dire, à petite dose, hein: la situation était quand même trop critique pour vraiment rigoler.

J'ai sonné, et j'ai attendu. Rien. J'ai resonné. Re-rien. J'ai re-re-sonné, et devinez quoi? Re-re-rien, oui, tout à fait.

C'est là que je me suis dit que ça aurait été cool d'avoir un ami dans le coin, histoire d'aller fumer une clope et un blanc avec lui en insultant L de tous les noms de mammifères et d'oiseaux marins...
En me disant ça, j'ai senti que je commençais à flipper sévère, et j'ai du coup eu envie de faire pipi, parce que j'ai toujours envie de faire pipi quand je flippe, bon, ben, chacun son truc hein. Sauf que ça n'arrangeait pas mes affaires, d'avoir envie de faire pipi, vous imaginez bien. Du coup, j'ai eu un peu envie de pleurer, aussi, et je me suis demandé si c'était vrai, ce vieil adage qui disait "pleure, tu pisseras moins", et si j'avais eu internet, j'aurais regardé les forums, pour voir ce qu'ils en pensaient... mais là, bon, ben, je suis restée avec mon point d'interrogation dans la tête.

Je ne me suis tout de même pas avouée vaincue, arrivée à ce point, parce qu'il m'en faut un peu plus pour déclarer forfait illimité et n'en jetez plus, la coupe est pleine.
Je me suis dit que, bon sang, j'allais sur mes trente ans, et que j'étais bien capable de me débrouiller seule dans la jungle urbaine. J'ai essayé de me mettre dans la tête des autres, puisque je n'y arrivais pas, dans la mienne: "... et comment elle ferait, Jeanne Cherhal, à ma place? Et Skye? Et Val®?". Mais bon, j'ai arrêté au bout de genre cinq minutes, parce que, il n'y a pas à dire, c'était quand même compliqué, d'imaginer ce que feraient à notre place des gens qu'on ne connait pas...

J'ai finalement décidé de retourner vers le furet, mais toujours pas l'animal, hein, parce que je me suis dit qu'L avait peut-être fini par y aller, genre.

C'est en milieu de trajet, quand j'ai commencé à me dire que tout était perdu, et que jamais je ne reverrais ma famille, mes amis, mon quinquin, et que surtout, jamais je ne verrais l'émission spéciale de tlmvpsp, que c'était trop bête de finir comme ça, oui, c'est en milieu de trajet que j'ai vu de loin ma jolie petite L promise, avec son petit T-shirt blanc, son sac avec ma carte bancaire, mes clefs, mon portable à l'intérieur, et j'étais tellement heureuse de la revoir et de réentendre mon coeur battre à nouveau que, sur le coup, j'ai complètement oublié de continuer à lui faire la tête...

En même temps, quitter sa p'tite copine uniquement parce qu'elle ne veut pas téléphoner à la maif pour assurer la maison des vacances, c'était peut-être un peu fort de roquefort... mais, si je n'm'abuse, oh, toutes les disputes sont bonnes pour pouvoir se réconcilier sur l'oreiller !

samedi 24 juillet 2010

Le CaMpiNg, C'EsT FaNtAsTiNg* !

(* quand 'faut que ça rime, 'faut que ça rime!)

L'an dernier, je ne sais pas si vous vous souvenez, mais j'avais dit à peu près mot pour mot quelque chose qui ressemblait à : "Oh, ben, alors, là, plus jamais de camping, non mais alors là c'est bon quoi oh, ça va bien deux secondes, ça va aller oui, oh!".

Eh bien, ce qui est complètement fou... c'est qu'L m'a écoutée, et que cette année, en effet, sur les trois semaines de vacances qu'on va se prendre dans la tronche et dans le corps (à partir de vendredi prochain, préparez vos mouchoirs, oh non mais pas les sales, oh, vous avez le temps d'en laver d'ici là!), il n'est prévu AUCUNE nuit de camping!!!!

Aucune nuit de camping, ça veut dire pas de promenade entre les caravanes, le PQ à la main ou sous le débardeur (si, si: si on s'y prend bien, c'est possible d'aller aux toilettes ni vue ni connue, mine de rien!).
Imaginez: pas de queue pour aller prendre sa douche, pas de cheveux autres que les siens par terre ni particules douteuses.
Pas de vaisselle à trois kilomètres de la tente, à côté de la dame qui emmène ses dix enfants qui hurlent par derrière, pas d'énorme sauterelle-beurk-avec-ses-longues-pattes sur la porte de l'espace "lavabo", pas de grenouille dans le bac à linge!! (oui, bon, j'ai déjà confondu une grenouille et une feuille... du coup, je peux vous dire que c'est vraiment très bizarre, de prendre une grenouille dans la main, si si, j'ai cette expérience là ajoutée à mon CV!).

Aucune nuit de camping, ça veut aussi dire: pas d'orage surprise, pas de soirée dans la tente à boucher les trous pour ne pas que le matelas soit mouillé, pas de repas vite gobé avant que la pluie ne tombe, pas de sardine qui s'enfonce mal parce que "oh, le terrain est plein de cailloux!", pas de gros gars qui ronfle dans la tente d'à côté, pas de frayeurs d'ombres bizarres en allant aux toilettes la nuit (oui, j'ai p't'être un souci avec les toilettes, oh, ça va, hein...). Pas de bande de potes bourrés qui hurlent dans une langue inconnue le dernier tube à la mode.

Aucune nuit de camping, ça veut dire, pas de mauvaise surprise quand le toilette qui se libère est un "turc" (oui, j'ai un problème avec les toil... ah, je l'ai déjà dit?), pas de mauvaise surprise quand le toilette qui se libère est douteux (oui, toujours le même problème...).

Aucune nuit de camping, bon sang, mais bon sang, quoi !!!

Aucune nuit de camping, ça veut dire aucun moment galère, à mettre ou à enlever son maillot de bain en se contorsionnant dans la tente. Aucun moment galère à replier la tente two seconds en trois quart d'heures (comment ça, un "code couleurs"?).

Chlo, imagine, aucune nuit de camping: aucune bouteille de rosé à moitié chaude parce que pas de frigo!!! Jamais l'impression de jouer à la dînette quand il arrive de faire un vrai repas sur la table qui tient à peine ...

Aucune nuit de camping, LeZart, imagine: aucune sieste coquine en vitesse méga grand V dans la tente où il fait juste 58 degrés !! Aucune nuit de camping, zéro stress avec une bouteille de gaz, et on la met où, à l'ombre? Oui mais où y a-t-il de l'ombre toute la journée?!

Non mais AUCUNE nuit de camping, quoi !!

...

... Aucune, bon sang...

... mais, pffff, mais...

... mais, woh...

... mais il n'y aura pas de table de ping pong, alors?!!!!! Woh !!!! THE activité des vacances, quoi !!!
Non mais oh... Pas de table de ping pong... Mais oh, mais c'est trop nul !!! J'suis juste passée "pro", cette année, à battre mon propre grand frère, celui même qui ne voulait pas jouer contre moi il y a une vingtaine d'années parce que j'étais nulle!!! J'viens juste de rentrer dans la cour des grands qui savent trop bien jouer!!!!!!
Et... L?!!! AIIIIILE???? PAS DE TABLE DE PING PONG, quoi !!! Mais... comment on va décider celle qui conduira pour aller au marché? Celle qui ira chercher une glace pour l'autre? /mode brouillé/Et surtout, surtout, celle qui sera dessus ou dessous, cet été?!!/ fin du mode brouillé/.

L'an prochain, on se fait au moins deux ou trois nuits, hein, L? Oh, allez, quoi... Et pour cette année, bon, ben, on emportera les dés...

vendredi 23 juillet 2010

Ohé, Y'A QueLqU'Un ? V'NeZ M'AiDeR, Oh !!


Bon, j'ai besoin de vous. J'essaie en fait de choper des graines chez N@t@lie (oui, je sais, dit comme ça, c'est un peu étrange mais bon, v'z'avez qu'à connaître son blog après tout!), et donc, pour faire court, il faut que je lui envoie des énigmes avec pour thème les fruiz'et légumes...

Étant donné qu'à chaque énigme que je tentais de dessiner tant bien que mal (vous connaissez mes, hum, difficultés, hein), L a rigolé, bon, ben, je voulais savoir si VRAIMENT c'était impossible à deviner, ou si L se moquait juste parce qu'elle était jalouse des graines que j'allais choper chez N@t@lie, tsss, je connais l'énergumène (je parle d'L, hein, parce que, N@t@lie, je ne me permettrais pas!): et c'est là que j'ai besoin de vous: saurez-vous tout trouver?!!

Comme vous avez besoin d'une stimulation (si, si, je sais bien), je propose un bon point à celle qui arrivera en premier à donner sans faute la solution des 10 énigmes (et évidemment, on peut tricher, DONC prendre les bonnes solutions proposées par les autres et rajouter les siennes... j'dis ça, j'dis rien, c'est pour Omo micro, au cas où elle n'y aurait pas pensé).

Soyez chics, et trouvez, quoi... que je sache si elles valent toutes une graine ou pas! ... y'en a de plus faciles que d'autres! Enfin, j'crois...

EDIT: Oh ben fallait venir avant (oh dis donc Chwing Chwing, la tête que tu fais!!): tout a été trouvé!! Bon, ben maintenant, arrêtez de dire que je ne dessine pas bien, hey, vous avez tout deviné!! Et moi j'm'en vais récolter mes graines! Merciii !!! Et si vous avez encore envie d'énigmes, je ne saurai que vous encourager d'aller sur le blog de N@t@lie, je bute sur la dernière, c'est trop abusé... Oui, non, par contre, je n'suis pas sûre qu'elle vous filera un bon point!

L'énigme 1 a été trouvée par Noxa

L'énigme 2 a été trouvée par Bif !

L'énigme 3 a été trouvée par Gargame:

L'énigme 4 a été trouvée par Nanou!
L'énigme 5 a été trouvée par Poss:
L'énigme 6 a été trouvée par doublevé au boulot ! (eh ben c'est du propre!)
L'énigme 7 a été trouvée par Poss :
L'énigme 8 a été trouvée par Noxa:
L'énigme 9 a été trouvée par Noxa !
L'énigme 10 a été trouvée par Nanou !


lundi 19 juillet 2010

iT'S a GaY GaY WoRLd...


Bon, ben, d'accord, j'ai compris lors du précédent message qu'en fait, vous étiez plein à ne pas avoir deux mois de vacances comme tout le monde... Du coup, je suis sympa dans le genre: je vous flanque un petit message encore, allez, avant d'aller faire des colliers sautoirs de pâquerettes à côté de la piscine, entre deux pages de voici Libé.

(si la photo est jolie, c'est peut-être parce que ce n'est pas moi qui l'ai prise... Oh ben oh, j'n'peux pas bien mettre le collier d'une main et prendre la photo d'une autre, après faudrait pas s'étonner que je fasse des photos floues!)

En fait, je voulais me plaindre de vous, oui oui, parce qu'à vivre dans un blog avec 90% d'homos, on finit par avoir son cerveau à 90% homotomisé et à prendre des photos de colliers de pâquerettes sur un fond de drapeau gay.

Je m'explique...

Hier, j'étais chez mes parents avec L, et histoire de rassurer ma mère sur nos prochaines vacances, j'ai voulu lui présenter sur le net la maison qu'on avait louée en aout, avec troiz'm et golden, dans leu sudeu deu la Fran'ceu (j'm'entraîneu, ça sonneu bien, heing?).

Installée devant l'écran de l'ordi, j'ai eu une absence totale comme il m'arrive très souvent, et comme L a vu que je ne me souvenais pas du nom du site, elle a dit: "mais, ran, zeste, c'est sur homelidays point com!!" (je tiens à préciser que je n'ai pas d'action pour ce site, et que ce n'est pas de la pub, n'y allez pas, je n'y gagne rien du tout, malheureusement)(mais bon, si homelidays me lit, je veux bien des réducs pour l'an prochain, voire des semaines gratos).

Comme j'étais au clavier, bon, ben j'ai tapé ce que j'avais entendu de la bouche de mon L, et en relisant ce que j'avais écrit sur la page gougueule, j'ai été un peu surprise du résultat. Je n'avais pas souvenir de cette orthographe, quelque chose me titillait un peu l'œil.
J'ai donc regardé L, avec le doute qui m'habitait, puis l'écran, puis L, puis l'écran, et à mesure que je voyais la tête d'L se décomposer, entre les deux têtes de mes parents, je me rendais bien compte qu'il y avait un souci, et que le site, ça n'était pas du tout comme ça qu'il s'écrivait.

...

Bon sang, "homolidays", ça sonnait bien comme elle me l'avait prononcé, pourtant...

Lez'amies, et les autres: je crois qu'il est temps pour moi de prendre mes distances quelques jours, avant de commencer à m'habiller en arc-en-ciel et à écouter Mécano... il y a des limites aux bornes des extrêmes limites...

Si vous vous ennuyez, il est toujours temps de rire des gens qui écoutent Lorie et qui risquent les moqueries sur au moins trois générations: Je mets le doigt sur leurs pseudos, allez: Greenouille, La p'tite Blan, Lolita, Lutèce, Mao Dun, Mimilady, Mystery, MS, Saycileuh, et à mon grand désespoir, Val® (aurait-on trouvé sa faille?!!).

vendredi 16 juillet 2010

Et Ta MèRe, eLLe Te FaiT Du CoMiNg-OuT ?!


J'suis chouette dans le genre: j'écris encore pour les trois pelés et demi (Chlo, tu veux bien faire le demi?)(mais non, ran, pas ce "demi" là, rhô...) qui sont encore là devant leur ordi en plein mois de juillet, au lieu d'aller buller au soleil. Bon, ok, c'est peut-être aussi parce qu'il n'y a pas de soleil, ah ah (rire jaune)(oui, je l'ai mis en orange, parce que le jaune, ça n'se voyait pas bien).

Ces derniers jours, c'était la fête à la maison: la soeur et le neveu d'L étaient à l'appart. Comme on a un petit appart, et que le neveu approche genre les 6 ans, on avait un peu l'impression d'être à 53 dans nos 5m². Il n'y avait donc qu'une solution pour que ça ne finisse pas en baston générale: SORTIR.

Ah ça, on a baroudé. Même le soir, j'ai fini par nous trouver des trucs ailleurs qu'ici, histoire que le neveu ne me détraque pas mon piano ou pire, qu'il ne me perde pas une lez'go (oui oui, il y aura encore des épisodes, dans les jours qui suivent!).

Tenez, par exemple, ce dernier weekend, nous sommes allés, L, sa soeur, son neveu, et moi, au petit festival organisé dans mon petit village natal du noârd, qui avait prévu en guest star une des têtes d'affiche des années 80. Les vieilles charrues, à côté, c'est du chiqué. Ou pas.
Je suis sûre que vous voyez ce dont je parle: vos statuts facebook ressemblaient à un grand voyage voyage du côté de chez les rockeurs de diamant, et, si je fais une mise au point, vous aviez des nuits magiques de folie, ces derniers jours .

Bref.

Etant donné que mes parents vivotent encore dans mon petit village natal, et qu'ils sont à fond investis dans la vie de la commune, nous les avons retrouvés sur place, parce qu'un concert de ce genre, ça se partage, et aussi parce que je les aime bien, mes parents, même s'ils ne m'ont jamais appris à endormir une poule, il ne faut pas vivre avec des rancoeurs, tant pis quoi.

Mes parents, ils connaissent à peu près tout le village, et tout le village les connait: ma mère a été là instit pendant environ 80 ans, et a vu passer 13 générations dans sa classe, et mon père est dans le staff de la mairie depuis environ janvier 1753. Oui, non, Omo micro, ne calcule pas leur âge, j'exagère un peu.
Ceci fait que toutes les trois secondes, il y a des gens qui viennent leur parler, parce que mes parents sont en plus hyper sociables, contrairement à moi qui dois être née d'un autre père et d'une autre mère, c'n'est pas possible autrement.

En fin de soirée, une énième dame du village s'est approchée de ma mère, au moment où la star des années 80 reprenait une chanson de Claude François.
J'avais en stéréo à ma gauche la conversation de cette dame avec ma mère, et à ma droite la conversation du neveu d'L avec sa mère.

Au départ, c'est la conversation de droite qui a retenu mon attention, parce que le neveu demandait à sa mère si c'était bien Claude François, qui était mort dans un accident d'hélicoptère, ce à quoi la mère a répondu que non, Claude François, il était bien mort, mais autrement. Je tendais l'oreille pour savoir si elle allait cash lui dire la vérité sur Claude ou pas, quand, à gauche, une parole a écorché mon cerveau:

la dame qui parlait à ma mère: ... et c'est zeste, qui est là?!!

ma mère: oui oui, c'est zeste!

la dame qui parlait à ma mère: oh, ben elle n'a pas changé!!! Toujours toute seule?

A ce moment-là, j'aurais dû laisser faire la vie et aller applaudir la star des années 80, star jusqu'au bout des seins, mais comme elle n'avait pas fini sa chanson, c'était un peu embêtant, ça aurait fait louche.
Au lieu de ça, j'ai donc dû regarder ma mère en souriant à moitié, pour voir ce qu'elle allait dire à la dame qui me connaissait apparemment mais que je ne connaissais pas, comme les trois Jakie quartz du village.
Ma mère a dû le prendre comme un challenge, alors que j'étais plutôt en train de paniquer que de faire ma fière, et elle a lâché: "oh, ben, zeste, elle est là avec sa copine!".

Sur le coup, j'ai eu très envie de creuser un trou très profondément pour m'y enfouir, mais ça aurait fait un peu bizarre, de sortir ma pelle, comme ça, en plein concert. Je me suis rattrapée à ce qu'il me restait, dans ma tête, comme espoir qui me faisait vivre: je pensais qu'à tous les coups, elle allait se dire qu'L était juste ma pote et qu'il n'y avait pas de quoi en faire un foin ni un ballot.
Au lieu de ça, la dame que je ne connaissais pas a surenchéri la conversation:

la dame qui parlait à ma mère: Oh, ben, c'est bien, c'est comme ça!

ma mère: ben oui, c'est comme ça!

moi: ben, heu, oui, bon, ben, oui quoi, heu.

la dame qui parlait à ma mère: ben c'est bien!

ma mère: ben c'est comme ça !

moi: ...

Après ça, je me suis un peu éloignée, parce qu'il ne faut pas abuser non plus, j'avais dépassé mon quota de mots de la soirée, il ne faut pas croire.
J'ai entendu que, par derrière, la dame que je ne connaissais pas mais qui me connaissait expliquait que justement, elle avait un ex qui avait une ex qui connaissait quelqu'un qui était avec une fille, ou une embrouille du genre: faites un coming out, vous allez voir, la première chose qu'on vous répondra, c'est que c'est pas grave, qu'on connait quelqu'un d'autre qui est comme ça et que voilà, quoi.
C'est fou, tous ces hétéros qui connaissent des homos: j'en aurais rêvé, moi, il y a quelques années, d'en connaître, comme eux!!! (oui, non, là, ça va, j'suis arrivée à sur-saturation...).

Tout ça pour dire que je me suis fait mesquinement outer par ma propre mère dans mon propre village, et qu'à l'heure qu'il est, ça a certainement déjà fait dix fois le tour des buildings qu'il n'y a pas.
Tout ça pour dire aussi qu'au final, ben je ne sais pas si le neveu d'L sait ce qu'il est arrivé à Claude François, dans sa baignoire...

jeudi 15 juillet 2010

La SaGa DeS LeZ'Gos (épisode huit)

Si on vivait chez les lez'gos, L et moi, on mettrait des plombes à finir un carambar à deux, oh !! Miam, on s'en lècherait les doigts ensuite!! ... ah ben non, ce s'rait pas possible... houla, du coup, ça m'inquiète pour d'autres choses, wow...

... et j'me pose une question: et la taille de la blague, est-ce qu'elle augmenterait aussi?! Proportionnellement, y'aurait peut-être de quoi rigoler pendant une bonne semaine !!

mercredi 14 juillet 2010

La SaGa DeS LeZ'Gos (épisode sept)

Si on vivait chez les lez'gos, L et moi, on serait forcément "in", "dans le coup", quoi: du coup, au lieu de faire du cheval, eh bien, on ferait du chien et du canard ! Eh ouais, ça fait rêver hein !

hue hue !!

(J'me suis encore fait avoir: qui est-ce qui s'tape l'animal où on ne peut pas poser ses deux pieds tranquillement? C'est bibi! Mais je le prends avec le sourire, parce que je trouve ça fun, qu'L séclate à faire du chien sans les mains!).

mardi 13 juillet 2010

La SaGa DeS LeZ'Gos (épisode six)

Si on vivait chez les léz'gos, L et moi, ce serait quand même un petit peu embêtant: je n'pourrais pas mettre de jupes ni de robes!!!!!!!!!!!
... Mais bon, ce qui serait pratique, c'est que, le jour où j'oublierais de mettre mon pantalon, ça se verrait tout d'suite !

(oh, et si j'pouvais bouder, je le ferais: Oh, dites, comme L, elle se moque de moi, c'est abusé!)

lundi 12 juillet 2010

La SaGa DeS LeZ'Gos (épisode cinq)

Si on vivait chez les lez'gos, L et moi, p't'être bien que je retenterais le coup de la baignoire, parce que quand même, bon sang, quoi...
Heu, par contre, comment dire: étant donné la taille du canard, pas sûre qu'il ait une autre utilité que d'être là à titre décoratif!


Ah non hein LeZart, je ne veux AUCUN commentaire (même si, si j'me souviens bien, il me semble que c'est toi qui avais gagné le p'tit canard, lors du concours zeste?!!!! Bon sang, mais si j'me souviens encore mieux: tu avais souhaité l'échanger contre le bouquin qu'au départ tu avais gagné!!!!! Et après on va dire que cette réputation, c'est à cause de moi, genre!!!).

dimanche 11 juillet 2010

La SaGa DeS LeZ'Gos (épisode quatre)

Si on vivait chez les lez'gos, L et moi, on aurait une superbe maison avec un balcon à l'étage, et une cheminée, et aussi un jardin avec des choses qui poussent (je ne suis pas encore déterminée pour le nom de ces "choses qui poussent"...). Et L m'appellerait pour dire que, wouhou, elle a fait à manger une bonne pizza, et moi je lui répondrais que, oh, deux minutes papillon, je finis de nettoyer la piscine...

... arf... Oui, je sais, je me fais mal...


(ça va, tout baigne?)(ah, en parlant de tout baigne, ça m'fait penser à l'épisode de demain, hu hu... comment ça, personne n'a réussi à le télécharger en avant première?! Rhôô...)

samedi 10 juillet 2010

La SaGa DeS LeZ'Gos (épisode trois)


Si on vivait chez les lez'gos, L et moi, je lui construirais un mur en cœur, à mon L. Même que, peut-être, je le ferais en rose, mais là, y'avait pas, dans les briques que j'ai achetées...

Rhô, ça a l'air de lui faire plaisir, hein?! (... L, tu penseras à mettre ta crème visage anti-reflets, tu as un peu la peau grasse, sur cette photo...)

Je préviens tout de suite Valérie Damidot: je mets un copyright sur ma création, hein, que je ne retrouve pas ça entre deux stickers dans la prochaine émission!!! Oui, rhô, par contre, Val®, tu peux reprendre l'idée, pas de souci, évidemment, ce qui est sur ce blog est à toi!

Ah, et cachez vos bons points: comme Chwing chwing boudait, j'ai décidé que Chlo lui filerait la responsabilité du blog aujourd'hui (Chlo, tu te poses quand même derrière à surveiller, avec le faible pourcentage de sobriété qu'il te reste, s'il te plaît?).

vendredi 9 juillet 2010

La SaGa DeS LeZ'gOs, épisode 2 !


Si on vivait chez les lez'gos, L et moi, je ferais faire à mon L des trucs de folie avec l'avion privé qu'évidemment je posséderais. Je mettrais Mallow sur l'hélice, après l'avoir lavé, pour qu'il sèche plus rapidement, et j'emmènerais le chien et le canard du voisin faire un tour, parce qu'L serait du genre à aimer caresser les canards, oh, ben, eh, y'en a bien qui murmurent à l'oreille des chevaux, après tout... chacun son truc!

Vrrrrrrrrraoum!! Maou ! Waouf ! Coin coin ! Yipi-yipiii !!
(non, j'n'ai toujours pas eu mon stage de bruitage... ni celui d'endormissement de poules, d'ailleurs!)



... à partir d'aujourd'hui et jusqu'à jeudi, je ne répondrai pas aux commentaires, dans les épisodes de la saga des lez'gos: non pas par flemme (oh, genre!), mais juste parce que je n'ai pas encore chopé le don d'ubiquité, et le neveu d'L vient ici passer quelques jours... C'est à partir de maintenant que vous avez le droit de me plaindre, oui.
J'ai laissé ouverts les commentaires parce que vous pouvez aussi vous parler entre vous, hein, et j'ai confiance, tellement confiance que je demande à Chlo de me prévenir s'il y a un souci, ah ah, pas folle la guêpe... Je suis bien consciente donc du fait que ça risque de tourner à la beuverie générale, mais je n'ai pas le choix... si je faisais confiance à LeZart, mon site risquerait d'être fermé aux mineurs, et si je faisais confiance à Chwing chwing, ah ah, vous rigolez ou quoi?
Bref. Amusez-vous bien lors des prochains épisodes, ou pas: tant pis, de toutes façons, ils sont programmés!

jeudi 8 juillet 2010

La SaGa DeS LeZ'Gos (épisode un)


Si on vivait chez les lez'gos*, L et moi, eh ben, au niveau mécanique, on se baladerait trop: yeap, je me vois bien tenir la camionnette avec une seule main, hop hop hop, pas besoin de cric, pendant qu'L trimballerait la roue, limite en jonglant avec avant de venir la clipser au bon endroit, poc !


Tranquille la vie, chez les lez'gos ! Vivement l'épisode deux !

(et pour une certaine lectrice qui se reconnaîtra, parlons poids lourds: j'ai bien vérifié, sur celui-ci, y'a pas d'moteur!)

* pour des raison évidentes que je vais quand même expliquer, parce qu'on a Omo micro parmi nous, les personnages des lez'gos n'ont en fait rien à voir avec L et moi, physiquement: pour faire rapide, j'ai bien des doigts, et on peut toutes les deux plier nos jambes. Ce qui est tout de même bien pratique, mine de rien.

Sur ce, je m'en vais délibérer pour le bon point! La réponse dans les commentaires du message d'hier !

mercredi 7 juillet 2010

GrAnDe SaGa De L'éTé (un peu à la bourre)


... Oui, bon, on est d'accord, l'été, normalement, c'est à partir du mois de juin. Mais sur ce blog, on est détendus, hein, c'n'est pas comme si c'était une page officielle, et d'ailleurs, si j'avais envie de reporter tout ça à demain, je le ferais! Mais bon, un peu d'sérieux, aussi, y'a F. comme Franfreluche qui voudrait choper un bon point, on risque de se faire disputer après.

Donc, Pirouette a vendu la mèche rebelle dans un commentaire: en effet, il y a bien un rapport entre la grande saga de l'été et les légos. En même temps, on n'aurait peut-être pas mis un légo dans la bannière si on avait voulu commencer à parler de pokemons... Quoique... Bon, en tout cas, là, non.

L'idée de la saga m'est venue alors que je... comment ça, quoi, "le bon point le bon point?".

...

Bon, ben, ok, on joue, d'accord, d'accord, oh, ça va...

Alors: pour choper le bon point de l'avant première de l'ouverture de la montée des marches de la cérémonie de la saga de l'été, c'est tout simple comme le passé ou le futur: il faut être preum's à me donner dans les commentaires les sept différences entre la première image du couple de légos hétéros coincés et la seconde image du couple de lez'gos cool-attitioude.

TrOuVeZ LeS SePt DiFFéReNcEs !!
(mais, ran, si vous en trouvez plus, bon, ben donnez les sept principales, quoi...)(non mais n'comptez pas non plus les p'tits bidules bleus, oh, sauvez votre soirée quand même, quoi!!)

J'enregistre vos commentaires ce soir sans les publier, et la réponse pour le bon point, ce sera demain matin!! Bonne nuit, ne stressez pas trop, c'n'est quand même rien qu'un bon point, hein... pensez à Chwing chwing qui vit encore plutôt bien sans... ah non?

Ah, et j'oubliais: je vous dis aussi à demain matin pour le premier épisode de la saga des lez'gos (car OUI, c'est bien de c'là qu'il s'agira!!! Vous avez hâte, hein, hein? Faites gaffe à ce que vous dites, j'ai la main sur la boîte à bons points...), et peut-être pour le premier bon point de Chwing chwing (oh la bourde, ah ah!!) F comme Franfreluche?!!

(pour l'instant, personne n'a trouvé)

(oui, p't'être que je bluffe... ou pas !!)

mardi 6 juillet 2010

La ReDeVaNcE GyNé ...


Attention, mise en chien de garde: ce message ne doit pas être lu par de trop jeunes personnes influençables, étant donné que je ne suis pas du tout un exemple à suivre...


Hier, c'était le premier jour de vacances pour moi, qui rime avec "bonnes résolutiances" (oui, bon, 'faut que ça rime, qu'est ce que vous voulez...).

Comme ça faisait juste 5000 km qu'on devait faire la révision de la voiture, je me suis dit: "allez, chiche zeste, tapes-en cinq, tu téléphones pour prendre un rendez-vous!!!!!"... Oui, non, mais comme ça, ça n'a l'air de rien, mais il faut savoir que je suis téléphonophobique, et que, donc, avant même de trouver le numéro dans les pages jaunes, j'avais les mains moites de savoir que j'allais devoir téléphoner, et je bégayais sans mot (essayez, vous allez voir que ce n'est pas donné à tout le monde!).
Une fois le numéro trouvé, j'ai appelé (je suis d'une logique implacable... parce que j'ai pensé à appeler après avoir trouvé le numéro, vous voyez? Pas avant!), et le type a été plutôt gentil; j'ai à peine bafouillé, et j'ai même su dire le nom de ma voiture et le nombre de kilomètres, ça a été de la franche rigolade, limite je lui faisais des jeux de mots, au gars.

Après avoir raccroché, je me suis dit que je ne pouvais pas m'arrêter en si bon chemin, et que ça avait été tellement simple qu'on ne pouvait même plus appeler ça une "mission", et que si j'avais dû être payée pour ça, j'aurais presque refusé le chèque.

Comme ça faisait juste 10 ans que je n'étais pas allée chez une gynéco, je me suis dit: "allez, chiche zeste, t'es trop une gueu-din, you can do it (oui, je me parle parfois en anglais, mais très rarement en allemand parce que je n'ai pas assez de mots pour ça, et je ne me dis pas souvent "wie geht's, zeste?"... en plus, c'est imprononçable, ce "z" après le "s"!), hop hop hop!!!".

Comme ça faisait donc hum10 anshum que je n'avais pas pratiqué de révision personnelle (ah non, mais pour la voiture, je vous rassure tout de suite, vous pouvez monter, je l'ai faite l'an dernier déjà, hein!!), inutile de vous dire que je n'avais pas souvenir de l'adresse de celle qui m'avait suivie, ni de son visage, et à peine du traumatisme de la visite, c'est pour dire ("vous voulez dire que CE TRUC, vous allez... ah oui? Non mais vous êtes... sûre de vous? Vous avez suivi le cours d'encastrements, en maternelle?").
J'ai donc repris les pages jaunes, mais cette fois-ci pour trouver une madame gentille qui voudrait bien gentiment vérifier si tout était gentiment okay là-dedans...

On ne choisit pas son gynéco comme on choisit son garagiste: déjà, il fallait que ce soit proche de chez moi, et ensuite, il fallait que quelqu'un me prenne genre en fin de semaine prochaine, rapport au fait que j'étais à peu près sûre que je serais en, heu... terrain praticable, disons. En jachère, oui (pour omo micro: que je ne sois pas en plein dans... ah, tu avais compris? Bon).

Au premier coup de fil, je suis tombée sur une boîte vocale, qui disait que ce n'était pas la peine de laisser un message, parce que personne n'écoutait le répondeur. J'ai limite hésité à laisser quand même un message, pour m'entraîner à la phrase que j'allais dire et que j'avais notée sur un bout de papier tout en la répétant dans ma tête: "oui bonjour ce serait pour prendre un rendez vous, si c'est possible la semaine prochaine, oui bonjour ce serait pour prendre un rendez vous, si c'est possible la semaine prochaine, oui bonjour ce serait pour prendre un rendez vous, si c'est possible la semaine prochaine, oui bonjour ce serait pour prendre un rendez vous, si c'est possible la semaine prochaine,..." (oui, je parle en rose, mais je pense en violet). Rapport à ma téléphonophobie, quoi.

Au deuxième coup de fil, je suis tombée sur un répondeur, qui cette fois me disait d'attendre, parce que la dame était occupée, et JE NE VOULAIS PAS SAVOIR à quoi elle était occupée, mais disons que j'ai attendu pas mal de temps. J'ai attendu. Attendu. Zaï zaï zaï zaï. Avec de la musique jazz, mes mains qui devenaient moites, ma bouche qui était sèche, et ma phrase qui vagabondait joyeusement à l'intérieur de ma tête...
J'ai limite sursauté quand ça a fini par sonner comme pour dire que ça y était, j'allais avoir quelqu'un au bout du fil, quelle horreur, c'n'est pas comme si je m'y attendais...

dame au bout du fil: OUI?

moi: Oui, heu, bon, bonjour! En fait, ce serait pour hum prendre un rendez-vous, si c'est possible en fin de semaine prochaine...

Après avoir jeté voire mitraillé ma phrase ( oui, on peut le dire, je ne sais même pas si on aurait eu le temps d'appuyer sur le chrono), il y a eu un blanc phénoménal, j'en attrape des boutons en y repensant. Le souci, c'est qu'un blanc, normalement, ça se comble, mais moi, j'avais déjà tout dit, je n'allais pas tout de suite lui parler du temps et de mes vacances, c'est quelque chose qui ne se fait pas, quoi. J'ai failli parler de ma téléphonophobie, mais apparemment, elle n'était pas spécialisée en psy, cette dame.

Au bout d'environ 5 heures dans ma tête, quand j'ai cru qu'elle était morte au bout du fil, terrassée par ma phrase assassine, elle a fini par réagir.

dame au bout du fil: alors... il me reste une place pour le 1er octobre, à 9h.

moi: ...? Hu, heu, ben... 1er octobre? 2010, 2011 ou 2012? ah ah...


dame au bout du fil: ...

moi: Hum... Bon, ben, c'est un quel jour, ça?

dame au bout du fil: C'est un jeudi! (genre, l'évidence, quoi...)

moi: ah ben non, jeudi 14 octobre 2010 à 9h, je travaille, ça c'est sûr!


dame au bout du fil: Ah. (genre "ne me raconte pas ta vie")

moi: ben... et un mercredi, en octobre? A n'importe quelle heure!


dame au bout du fil: ah, non, c'est fermé, le mercredi. (genre "tout le monde le sait sauf toi, nouille")


Ça a été la goutte d'eau qui a débordé du gynéco, ça. Trop d'émotions d'un coup. Comme j'avais un peu envie de pleurer d'avoir fait un effort non récompensé, j'ai dit: "bon, ben, je rappellerai plus tard, merci au revoir".

Sachant que si j'appelle en septembre prochain, on me proposera un rendez-vous en janvier 2011, et que si j'appelle en janvier 2011, j'en aurai un pour avril, bon, ben, je crois que je vais attendre d'avoir VRAIMENT besoin d'y aller pour convenir d'une date......

Hou que c'est pas bien, je me tape sur la main.

Les gynécos, ça devrait être une case à cocher sur la fiche des impôts, chaque année. Genre une redevance gynéco, avec une dame qui viendrait vérifier si vous y êtes allée. Oui, enfin, ran, mais quand je parle d'une dame qui viendrait vérifier, rhôô, tout d'suite, Lezart... voyons!!!! Mais elle est déchaînée, en ce moment, la petite !! T'es sûre que tu avais le droit de lire le message, d'ailleurs, toi?!!

lundi 5 juillet 2010

PaRtiCiPeZ à La pLAyLiSt De NoS VaCaNcEs !!

Comme vous vous en doutez certainement, je ne vais pas, pendant toutes mes vacances, rester à voler ici en regardant les mouches ruminer. Je ferai juste ça pendant le mois de juillet, en attendant qu'L ait fini de faire semblant d'aller bosser (ce qui promet un max de messages sur ce blog, surtout si le temps reste à pleurer comme aujourd'hui...).

Tout le paragraphe précédent signifie qu'en aout, je m'en vais, dans le sud-est comme d'habitude, parce qu'on ne change pas des vacances qui gagnent, et avec L comme d'habitude, parce qu'on ne change pas non plus un couple qui gagne. Ce qu'on a gagné? Ben le bonheur, quoi, oh! (oui, j'ai quelque chose à lui réclamer, ça se voit tant que ça? ... non, LeZart, n'insiste pas, non mais oh, c'est l'été qui te rend comme ça ou quoi?)

Tout le paragraphe précédent signifie que, de un, je ne bloguerai pas en août, foi d'animal, intérêt et principal. Et de deux, qu'on aura une looooongue route en voiture avant d'arriver là-bas, où tout est neuf, sauvage, et ristique aussi, hum... (pour omo micro: tout-ristique--> touristique. De rien.)

Comme je vous aime bien et que je veux bien penser un peu à vous en grignotant mes chips au ketchup à côté d'L au volant, amour au tournant, je vous propose un p'tit travail: pendant tout ce mois de juillet, vous pouvez déposer dans les commentaires de ce message, le nom et l'interprète d'UNE chanson que vous avez bien aimé cette année ou à une autre époque qui fut sans doute la mienne aussi, afin que je me fasse un petit cédé rien qu'avec vos musiques à vous, et que je pense à vous en pleurant à chaudes larmes dans la voiture (j'en fais trop?...).

Tout abus sera puni par la loi d'un bon point en moins... réfléchissez-donc avant de me proposer du Michel Sardou!

Tout choix de chanson est interchangeable jusqu'au 27 juillet.

Comme je veux mettre le couteau sous la gorge de votre réputation, j'affiche votre pseudo et votre proposition de chanson dans cette liste qui, pour l'instant, ne propose que des chansons qui n'en sont pas... des chansons "par défaut", quoi. A vous de voir si vous voulez sauver votre pseudo ou rester avec ce morceau de Lorie qui vous collera à la peau toute la vie... (bien évidemment, si les propositions restent du Lorie, elles n'auront pas la place dans le CD-spécial-zesteurs: j'ai dit que je voulais des chansons, moi..).

★★★★★★★★★★★★★★★★★

Par ordre préférentiel alphabétique, liste des propositions pour un CD-special-zesteurs :

Aiurea: Boy with a coin, Iron & Wine
Anne from LA: T'es beau, Pauline Croze
Antonia: Brandt Rhapsodie, Benjamin Biolay et Jeanne Cherhal
Aucun nom: Summertime, Janis Joplin
Azraëlle: Lynyrd Skynyrd, Sweet Home Alabama
Bif: David Guetta - "Gettin' Over You" feat Fergie et LMFAO
Bleueturong: You're the woman, Mansfield TYA
Bouille de BN: Because the night, Patti Smith
Brin d'artiste: For You, Angus and Julia Stone
Bulle sans rond rond rond: Enjoliveurs, Mademoiselle K
Carab': Paperweight - Joshua Radin (et Schuyler Fist)
CaSS':The knife, Heartbeats. (oh ben tu vois, on peut s'entendre niveau zik: j'aime!)
Chamallow: Illusion, Kylie Minogue
Chlo: Novocaine for the soul, Eels
Choko: Grand corps malade - Education nationale
Chtipouss: Fio Maravilla, Nicoletta
Chwing chwing: Mrs. Robinson, Simon & Garfunkel (j'adôôre!)
Clara: music is my hot sex, les CSS (c'est ton dernier mot? Ça tombe bien, j'préfère!)
Dan: Hey you, Pony Pony Run Run
E. : You're not stubborn, Two Door Cinema Club
Eily: Long Nights, Eddie Vedder
Elea: I don't feel like dancin', Scissor Sisters
Emma: Invisible touch Genesis
Entremel: hasta siempre de Nathalie Cardone
Eurêka: Les vieux mariés, de Michel Sardou (assume!)
F comme franfreluche: Downtown, Petula Clark (yipi yipi! Ca sonne trop vacances, ça!)
Flo: On a tous le droit de Liane Foly
Gargame: Danger ! High voltage, Electric Six (woh, ça fait cinq ans que je recherche cette chanson, Trop happy !!!)
Golden: Paparazzi, Lady Gaga
Grebeuce: white rabbits, percussion gun
Greenouille: Parle lui, Lorie
Isabelle: karpatt, histoire de famille
Iza za: l'empire du coté obscur, I AM.
Jodie's manager: The Rain Pauly, Boat Beam
Julie: Heart of glass, Blondie. (j'aime!!!)
Kanou: One Draw, Rita Marley (version longue!)
Khanh: Somewhere, K's choice.
La Malice: Gold - Antoine Clamaran
La Gata Christie: the plaisure song, Marianne Faithfull (hey, ça m'fait penser à une série, tiens, ça, genre...!!)
La p'tite blan: Rester la même, Lorie
La troiz'm: J'accuse, Damien Saez
Laure: Empire of the sun - Swordfish hotkiss night
Lene: Tape Loop, Morcheeba
Lezart: Little Lion Man, Mumford and Sons
Lika: Dimanche, Volo
L'iz: Summer Son de Texas (arf, ce cliiiiiiip !!!)
LN: La Roux : reflections are protection
Lolita: l'homme de ma vie, live, Lorie
LuLu: Love Show, Skye
LuLu anonyme: walking on a dream, Empire of the sun
Lutèce: si demain, Lorie
Maboroshi: one, Metallica
Malou: Gobbledigook de Sigur Rós
Mao Dun: A vingt ans, Lorie
Marry Taggle: I believe in you de Don Williams
Melaelle: Amber rubarth , you will love this song
Mélanie: Brother in Arms, Dire Straits
Mimilady: C'est plus fort que moi, Lorie
Mistery: sur la scène, Lorie
MS: c'est fini, Lorie
Nath: Somebody New, The Amplifetes
Nesse: Pour me rendre à mon bureau, par les ogres de barback (oh ben si, ça j'aime bien!)
Nilda: Funny Little Frog, Belle and Sebastian
Natacha: Fire bomb, Rihanna
Omo micro: Dimestore Diamond, Gossip
Patxi: Madonna - X-Static Process (ah ben voilà ! tu vois, quand tu veux!...)
Peticrabe: Rabbit heart, Florence and the Machine (yes!)
Pianissihomo: Apres Moi, Regina Spektor
Pirouette: Bitch, Plastiscines
Pluchon: Forbidden love, Communards
Poids Plume: Pamela Hute -Don't help me
Poss: Au café du canal, Pierre Perret
Pucinette(s): Road Trippin' des Red Hot.
R.: C C Lou, quand je serai forte (j'n'ai pas trouvé le lien de la chanson...)
Sam: Laisse tomber les filles, Skyyyyyye !!!!
Sandra: Clap Your Hands, sia
Sanscible, la p'tite nouvelle: Toi et Moi, Guillaume Grand.
Soda: Je veux, Zaz.
Ssaycileuh: entre vous deux, Lorie
Stieg : Les baleines, Marie Cherrier
Steph: Bohemian Rapsody par Pink
Syrano: Planter des cailloux, Syrano
Thatoo: Anyone else but you, Molby Peaches (j'aime!!!)
the K: Basic Space, the XX
Thunderbird: Covered, de Uh huh her
Tit'millie : Le Café, Oldelaf et Monsieur D.
Twix: Estafette - Sexy Sushi
Val®: toute seule, Lorie
Vanessa: Oncle Soul, Seven nation army.
W: Nineteen, de Tegan and Sara.


... et pour les quelques commentateurs que j'aurais oublié (ben oui, mais 'faut commenter plus souvent, aussi!!!), il me reste quelques chansons de Lorie sous la main, genre tout le remix live des chansons déjà citées! Râlez un coup, et je vous rajoute sans souci !

... alors? Qui change sa chanson?

CeCi N'EsT PaS VrAiMeNt Un MeSSaGe (mais un peu quand même)


Pour des raisons que la raison ignore, mais pas Chlo, Lezart, Malou, Clara, L, moi, et certainement Val® parce qu'elle est omnisciente, j'ai l'honneur de délivrer à Clara un bon point sous la table. Je n'en dirai pas plus, parce qu'il y a des choses qui ne se disent pas, mais disons qu'elle l'a amplement mérité.

Pour les réclamations, je ne parlerai qu'en présence de mon avocat, mais non merci je n'ai pas faim (le lien, c'est pour les deux pelés qui n'ont pas facebook et qui n'avaient pas connaissance de la "blague" avant... en même temps, quand on n'a pas facebook, 'faut pas s'étonner d'être totalement over has been, je ne dis pas ça pour mettre la pression et leur faire créer un compte illico presto, mais un peu quand même !!).

Sur ce, je m'en vais promener l'épilateur en dessous des bras, pour voir ce que ça fait, et autant vous dire que j'ai une suée rien que de vous en faire part...

samedi 3 juillet 2010

ChLo En DiReCt LiVe De LiLLe !!


Une fois n'est pas coutume, je file les Chlo de ce blog à clef, qui est chez nous en ce moment pour vivre de fous moments (hein, Chlo?)("oui", elle dit "oui"...) dans cette magnifique ville de Lille ! Vas-y Chlo, lance-toi, c'est à toi !!!
_._._._._._._._._._._._.
( coupure qui montre qu'à partir de là, bon, ben, c'est Chlo qui prend le clavier)(mais non, mais ran, là, c'est encore moi, ...)(en quelle couleur tu veux parler, Chlo?).



48 heures dans la vie de Zeste et L.

Vendredi, 15h58, je grimpe dans le train pour Lille. A Paris, le ciel est encore bleu, et il fait chaud, très chaud. Arrivée à Lille, le ciel est déjà un peu plus gris, mais je suis étonnée, il ne pleut pas encore. Je retrouve Zeste sur le quai. Nous partons pour une petite promenade dans le vieux Lille, sous une chaleur assez écrasante. Heureusement, le temps du Nord reste fidèle à sa réputation, et très vite, le ciel se met à gronder. Après un petit verre (le premier d'une longue série, bien évidemment), nous arrivons à l'appartement. Je retrouve avec plaisir certains détails connus par l'intermédiaire du blog :


Nous embarquons L au resto, puis s'en suit une petite visite de Lille by night:

... avec Martine qui me souhaite la bienvenue.

Nous foulons les pavés (sous lesquels j'aurais bien aimé trouver la plage et la mer, quelques heures plus tôt, vue la température) et nous nous retrouvons sans trop savoir comment au milieu du Marais et de ses célèbres carrelages:

Nous nous arrêtons alors au Coming Out, bar gay de Lille (non?!!!), dans lequel nous terminerons la soirée entourées de charmantes jeunes lesbiennes... Quoi ? Comment ça pas crédible ? Oui bon, en vérité, on s'est posées au bar d'en face pour boire une menthe à l'eau... Avouez que vous êtes déçu(e)s !

Retour ensuite à l'appart', une bonne mais courte nuit de sommeil (pauvre L entourée de deux lève-tôt...) et un réveil sous le ciel bleu (incroyable mais vrai).
Un petit message de Nabi pour nous dire bonjour...:
(pitié, faites le bouger, il est ridicule dans cette position...)

... et nous partons à nouveau à la conquête des pavés:
Commencent enfin les visites intéressantes :
(les bières et les moules!)(pas de jeux de mots vaseux, hein, Lezart...)

Des bars colorés spécialement pour Zeste :
(... les pavés ne resteront pas secs longtemps, vous imaginez bien...)

Nous passons ensuite devant le fameux UGC où Isa était présente il n'y a encore pas si longtemps:
... et nous tombons ENFIN sur le très célèbre Furet du Nord (qui n'est pas un animal, je confirme)(déception...) :

Nous choisissons un resto adapté :

... et nous nous installons en terrasse...! Nous pouvons compter sur la pluie (que dis-je, le déluge) qui vient se joindre à notre repas. Mais ceci ne nous arrête pas pour autant, et je me permets même de manger, devant Zeste en chair et en pépins, la rondelle de citron de mon Martini.

Bon, et, histoire de se remettre de nos émotions humides, y'avait un p'tit café et quelques macarons qui nous attendaient à l'appart!


PS : Vous vous doutez bien, évidemment, que ce message a été écrit sous la pression (et pour une fois, je ne parle pas de bière (oui, elle était facile, et alors ?)), mais rassurez-vous, bientôt, j'ouvrirai un blog, et je vous révélerai toute la vérité, rien que la vérité sur la vie de Zeste et L à Lille !

Sur ce, il y a un verre qui m'attend, je redonne donc la parole à Zeste!

Merci Chlo pour ce petit reportage en direct live, et surtout, merci de nous avoir rapporté ces petits macarons, j'en salive encore!!! C'est pas pour rien qu'ils s'appellent "ladurée", quoi, genre!! Pour les prochains qui viendront visiter Lille, j'avoue avoir un petit faible pour ceux au café et au caramel au beurre salé. Mais bon, après, vous pourrez aussi dormir dehors, hein...